l’âme de l’été en bleu adorable
laisse mon regard filer
jusqu’aux abîmes d’infini
la chaleur enivre mais le vent m’inquiète
un froid se glisse au long des os
qui tremblent comme fétus
sous la lame des moissons
Le blog de Raymond Prunier
l’âme de l’été en bleu adorable
laisse mon regard filer
jusqu’aux abîmes d’infini
la chaleur enivre mais le vent m’inquiète
un froid se glisse au long des os
qui tremblent comme fétus
sous la lame des moissons