c’est sous la peau qu’afflue le printemps
il soupire là chassant les pullovers
je ne sais plus dis mon âme ce qui me va
ce sourire c’est sûr avec la chemise bleue
mars m’allège déjà de douceur élégante
Le blog de Raymond Prunier
c’est sous la peau qu’afflue le printemps
il soupire là chassant les pullovers
je ne sais plus dis mon âme ce qui me va
ce sourire c’est sûr avec la chemise bleue
mars m’allège déjà de douceur élégante