croque le jour 20

l’amer elixir d’enfance mit en berne mes cordes vocales

puis le beau du monde me submergea de ses refrains jolis

loin des foules des fureurs cultivant tête et pas

préférant à la rudesse des êtres la splendeur des clairières

je chantai l’oreille tendue vers l’echo très bleu des forêts