les cabanes où l’enfance me garda
loin de l’usure des jours des mois des ans
dansent dans le secret de ma mémoire et je revois
leurs toits crevés de rayons qui berçaient ce silence
mêlé d’humus qu’aucun parfum n’évoquera jamais
Le blog de Raymond Prunier
les cabanes où l’enfance me garda
loin de l’usure des jours des mois des ans
dansent dans le secret de ma mémoire et je revois
leurs toits crevés de rayons qui berçaient ce silence
mêlé d’humus qu’aucun parfum n’évoquera jamais