qu’advienne quelque avanie affront trop humain
en toute saison je ferme les paupières
j’invente un printemps de val blond et de lac
où affluent les fausses notes de canards graves
bourrasques de rires que rythme le gracieux ressac
Le blog de Raymond Prunier
qu’advienne quelque avanie affront trop humain
en toute saison je ferme les paupières
j’invente un printemps de val blond et de lac
où affluent les fausses notes de canards graves
bourrasques de rires que rythme le gracieux ressac