passant devant sa cour vide
l’école où je fus résonne drôlement
des cris d’enfants fusent au passé
on pleure quelque part je crois
dans un froissement de gravier
Le blog de Raymond Prunier
passant devant sa cour vide
l’école où je fus résonne drôlement
des cris d’enfants fusent au passé
on pleure quelque part je crois
dans un froissement de gravier