les tisons rougeoyants de la pâque
me ramènent au balcon de naissance
la brûlure de l’âge écrase la rose des matins
c’était beau les nuits les bras quand j’y pense
lointains évanouis et ce non qui dit oui
Le blog de Raymond Prunier
les tisons rougeoyants de la pâque
me ramènent au balcon de naissance
la brûlure de l’âge écrase la rose des matins
c’était beau les nuits les bras quand j’y pense
lointains évanouis et ce non qui dit oui