quand je partis pour le grand voyage
je me chargeai de bagages crâne têtu
bras ferraillant d’illusions féroces
le fil du temps me délia de la broyeuse
et ce jour mon skiff file joyeux vers l’indicible
Le blog de Raymond Prunier
quand je partis pour le grand voyage
je me chargeai de bagages crâne têtu
bras ferraillant d’illusions féroces
le fil du temps me délia de la broyeuse
et ce jour mon skiff file joyeux vers l’indicible